*Remarque.

Au cours des deux jours de discussion de notre article, les 8 et 9 août, sur les réseaux russes et étrangers de la GGHA comptant plus de 2 000 abonnés, cet article n’a rencontré aucune objection. Il a été adopté comme l'article collectif de la GGHA, et les réponses de soutien les plus significatives sont publiées sur notre site Web avec l'article. [https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=1206]

Résumé. Cet article des coauteurs de la GGHA a été écrit à l'occasion du 79e anniversaire de la tragédie des civils dans les deux villes japonaises d'Hiroshima/Nagasaki (H/N), sur lesquelles la terreur génocidaire nucléaire américaine s'est abattue sans motivation pour la première fois de l'histoire. Pendant 79 ans, l'Occident et son « alliance nucléaire » de 32 pays de l'OTAN l'ont portée à la mondialisation planétaire d'un « hiver nucléaire » potentiel de l'humanité dans le monde H/N, devenant un générateur historique d'une civilisation nucléaire génocidaire.

La nécessité pour l'humanité de survivre dans une civilisation nucléaire exige son changement de l’intérieur par le lancement d'une mondialisation alternative de la science de la paix en son sein. Cette science est un paradigme vrai, fondamental et vérifiable de la communauté mondiale, également nécessaire et acceptable pour tous les peuples. Elle exclut leur confrontation profonde et assure leur prospérité et leur développement durable dans la « paix perpétuelle » kantienne, et non dans une série de trêves fragiles entre des guerres sans fin.

Mots-clés. Civilisation nucléaire, Hiroshima et Nagasaki, armes nucléaires, génocide et suicide nucléaires, terreur et écocide nucléaires, mondialisation nucléaire, science de la paix, pensée sphérique substantiellement nouvelle, mondialisation pacifique alternative

1.H/N : La naissance de la civilisation nucléaire criminelle et sa mondialisation

H/N est le symbole d’une civilisation nucléaire mortelle et criminelle, depuis qu’elle est née en août 1945, a vécu avec elle, alimentant et développant la course aux armes nucléaires avec des budgets prioritaires depuis 79 ans et ne s’en est pas séparée jusqu’à présent, ignorant ou supprimant toutes les alternatives fondamentales pacifiques et scientifiques. Ce symbole est présenté dans la figure 1 avec tous les paramètres objectifs de l’émergence de cette civilisation : source, processus, lieu, temps et échelle de la terreur/génocide nucléaire historique.

Fig. 1. Symbole d’Hiroshima/Nagasaki

L’attribut de nature criminelle de la civilisation nucléaire et la fausseté de la soi-disant « dissuasion nucléaire » qu’elle contient sont révélés dans la monographie du célèbre avocat Francis Boyle. « L’âge nucléaire a été conçu dans les péchés originels d’Hiroshima et de Nagasaki les 6 et 9 août 1945. Les bombardements atomiques d’Hiroshima et de Nagasaki o­nt constitué des crimes contre l’humanité et des crimes de guerre… » [1]. La terreur nucléaire H/N est le fruit criminel des USA, de l'Occident dans son ensemble, conçu par Hitler en 1939 dans le "Programme nucléaire allemand", doté de toutes les ressources nécessaires [Wiki] à des fins racistes et nazies. Par conséquent, la civilisation nucléaire occidentale qui est née avec elle est l'"âge nucléaire" criminel occidental et une "civilisation suicidaire" criminelle [2; 3]. Elle a forcé d'autres pays et civilisations de l'humanité, à des fins d'auto-préservation et de sécurité, à répondre de manière adéquate, avec des armes nucléaires, à la menace existentielle occidentale, qui a lancé sa course mortelle, suicidaire et écocidaire pour toute la race mondiale jusqu'à ce jour.

Par conséquent, tout le temps de la civilisation nucléaire depuis H/N est marqué par le signe satanique de sa mondialisation suicidaire sur la voie d'une course continue et accélérée aux armes nucléaires, de sa "modernisation" illimitée et de son évolutivité infinie, tant en termes de puissance potentielle génocidaire que de nombre de pays impliqués. Elle condamne cette civilisation criminelle et toute l'humanité avec des tendances similaires à un inévitable Armageddon nucléaire/Auschwitz.

Le potentiel historique génocidaire de cette civilisation a atteint un niveau extrême de risque et de non-retour, dépassant les 99 %, enfermés dans un désordre symbolique de 90 secondes de vie restant à l'humanité sur « l'horloge de l'apocalypse » des scientifiques nucléaires américains [4]. Il s'accompagne d'une aggravation de la confrontation militaire, psychologique et spirituelle infernale en son sein sur les champs de génocide local à Gaza, en Ukraine et ailleurs, en prélude et incitation au génocide nucléaire total dans une nouvelle et finale guerre mondiale. Cette confrontation criminelle a été illustrée de manière héroïque et désintéressée par l'auto-immolation de protestation du soldat américain Aaron Bushnell à Washington, devant l'ambassade d'Israël, le 25 février 2024, à 13h00 [5].

Aujourd'hui, la civilisation nucléaire prend d'assaut le sommet du génocide mondial, dont l'approche a été amorcée par Adolf Hitler. Ses « lauriers » hantent les étudiants assidus des USA/OTAN depuis près de 80 ans. Leur entraînement au génocide d'environ 40 nations dans les années qui o­nt suivi H/N avec des armes conventionnelles a conduit à la mort de 20 à 30 millions de civils [6, 7, 8, 8a]. Aujourd'hui, les États-Unis et l'OTAN continuent le génocide des civils dans la bande de Gaza, en Ukraine et dans le monde entier. o­n sait qu'en 2023, il y avait 183 conflits armés dans le monde, selon Bloomberg [9]. La course effrénée aux armements nucléaires lancée par les États-Unis et l'OTAN a naturellement donné lieu à une production accélérée de ces armes dans les pays qui étaient ciblés pour être les prochaines victimes après H/N dans les plans pour « les rayer de la carte » [10]. Ces pays o­nt tout fait pour résister à la terreur nucléaire occidentale et ne pas devenir victimes de son crime : l'URSS, la Russie, la Chine, l'Iran, la Corée du Nord, l'Inde, le Pakistan. L’un des derniers actes de cette course criminelle a été la décision suicidaire de l’Occident d’investir 1,2 trillion de dollars dans la « modernisation des armes nucléaires » d’ici 2030, qui sont « capables de tuer jusqu’à 90 % de l’humanité » avec l’implication de l’Australie, du Japon, de la République de Corée et de la Nouvelle-Zélande dans le nouveau bloc nucléaire AUKUS [11].

La mondialisation de la civilisation nucléaire et de son générateur – les armes nucléaires – est en complète contradiction avec toutes les normes du droit international, le détruisant et le rejetant. « … Les armes nucléaires n’ont jamais été des instruments bénéfiques de la politique d’État, mais o­nt toujours constitué des instruments illégitimes d’un comportement international illégal et criminel avant tout. » [1] « La conclusion est inexorable que la conception, la recherche, les essais, la production, la manufacture, la fabrication, le transport, le déploiement, l’installation, la maintenance, le stockage, la vente et l’achat ainsi que la menace d’utiliser des armes nucléaires avec tous leurs accessoires essentiels sont criminels selon les principes bien reconnus du droit international. Ainsi, les décideurs gouvernementaux de tous les États dotés d’armes nucléaires qui o­nt la responsabilité de commandement de leurs installations d’armes nucléaires sont aujourd’hui soumis à une responsabilité pénale personnelle en vertu des Principes de Nuremberg pour cette pratique criminelle de dissuasion/terrorisme nucléaire qu’ils o­nt infligée quotidiennement à tous les États et peuples de la communauté internationale. Je souhaite ici souligner quatre composantes de la menace d’utiliser des armes nucléaires qui sont particulièrement répréhensibles du point de vue du droit international : ciblage contre-ethnique ; ciblage contre-urbain ; armes de première frappe et plans d’urgence ; et l’utilisation en premier d’armes nucléaires même pour repousser une attaque conventionnelle. »[1] « ... L'humanité doit abolir les armes nucléaires avant que les armes nucléaires n’abolissent l'humanité... la doctrine connue sous le nom de "dissuasion nucléaire", qui est en réalité un euphémisme pour "terrorisme nucléaire". [Ibid]

Bien sûr, il est en même temps nécessaire de faire la distinction entre les agresseurs nucléaires occidentaux qui utilisent les armes nucléaires pour imposer leur dictature aux États qui leur sont hostiles, et les autres pays qui créent des armes nucléaires pour se défendre contre les agresseurs nucléaires. Si au départ, l'humanité a permis à un agresseur de créer et d'utiliser des armes nucléaires, alors quel droit a-t-elle de priver les autres pays du droit à une défense nucléaire adéquate, comme l'a fait l'URSS, en réponse aux plans agressifs des États-Unis, "l'effacer avec une carte des armes nucléaires" ? [10]. Il est immoral de mettre l'agresseur et sa victime sur le même niveau.

La déclaration de Washington de l'OTAN du 10 juillet 2024 confirme à nouveau le caractère criminel de cette alliance nucléaire. « 9. Tant que les armes nucléaires existeront, l'OTAN restera une alliance nucléaire... L'OTAN reste déterminée à prendre toutes les mesures nécessaires pour assurer la crédibilité, l'efficacité, la sûreté et la sécurité de la mission de dissuasion nucléaire de l'Alliance, notamment en modernisant ses capacités nucléaires, en renforçant sa capacité de planification nucléaire et en s'adaptant si nécessaire. » [12]

Notre évaluation générale de la civilisation occidentale criminelle du « milliard d'or » est présentée dans notre « Manifeste anti-OTAN » avec des collègues [13].

En conséquence, depuis près de 80 ans, la civilisation nucléaire, imposée par la force et la menace de la force par l'Occident à l'humanité, est devenue un tournant de son histoire. Sur cela, l'humanité mettra fin à son existence ou changera radicalement son vecteur stratégique de l'avenir dans le sens de la « paix perpétuelle » planétaire et scientifique selon Kant [14] dans toutes les sphères de la société, ainsi que dans tous les pays et institutions, y compris le droit international, en tant que pont normatif commun pour ce but. Pour ce tournant fatidique, l’humanité doit maîtriser la science fondamentale de la paix vérifiée, qui peut devenir sa base mentale commune et l’instrument non violent acceptable par toutes les nations pour l’éradication des armes nucléaires en tant que « Mal absolu » de l’Occident [15]. La possibilité de son éradication sur une base scientifique a été envisagée pour la première fois par la GGHA dans son « Manifeste antinucléaire » collectif de 46 coauteurs de 26 pays avec la participation de quatre lauréats du prix Nobel de la paix en 2020. [16]

2. Hiroshima/Nagasaki vu de l’intérieur par les Américains en 1945

La cuisine politique américaine de 1945, où fut concoctée la décision stratégique criminelle de détruire la population civile de H/N, est révélée en détail dans de nombreux ouvrages [8 ; 17 ; 18 ; 19 ; 20 ; 21], dont nous sélectionnerons les attributs les plus importants et les plus caractéristiques.

1. Le premier attribut est le mensonge du principal motif officiel du bombardement atomique de H/N selon lequel il était prétendument nécessaire de « mettre fin à la guerre » et que H/N disposait de « bases militaires » dont la destruction aurait « empêché la mort d’un demi-million de soldats américains ». Toutes les sources confirment que le Japon était prêt à capituler pour arrêter la guerre et qu’il n’y avait pas de bases militaires à H/N, donc il n’y avait aucune nécessité militaire à leur bombardement atomique [Ibid].

2. La véritable raison de la terreur atomique de H/N était le désir des États-Unis d’établir leur hégémonie mondiale. « Le ciblage intentionnel de femmes et d’enfants civils dans une zone urbaine très peuplée avait pour but de créer l’impact psychologique maximal sur les esprits des Japonais, des Russes et du monde. » [8] « Pourquoi o­nt-ils commis un tel crime ? Eh bien, plus que tout, ils voulaient montrer à la Russie la nouvelle arme que possédaient les États-Unis. Ils voulaient non seulement montrer à la Russie, mais aussi proclamer au monde que les États-Unis n’hésiteraient pas à utiliser tous les moyens pour protéger et préserver leurs intérêts ! » [Ibid].

Une autre source : « En fait, l’objectif était clair : il ne s’agissait pas seulement de détruire des bâtiments, mais de tuer instantanément un nombre sans précédent de personnes », pour « envoyer un message » à l’Union soviétique selon lequel les États-Unis avaient désormais le monopole des armes nucléaires et commanderaient désormais le monde d’après-guerre. Pour y parvenir, près d’un demi-million de civils japonais o­nt dû mourir, y compris ceux qui sont devenus plus tard victimes des effets des bombes ; les radiations. » [18] Et ainsi de suite dans toutes les sources.

3. L’immoralité et la barbarie des bombardements H/N. "Seules l'inhumanité et la cruauté de l'homme peuvent commettre de tels crimes contre les civils d'un pays ! Le crime dépasse toutes les limites de la barbarie quand o­n réalise que toute la tragédie aurait pu être évitée !" [8].

L'immoralité de la décision criminelle de bombarder les habitants innocents de H/N est révélée par le détail hypocrite de son blasphème satanique. "C'était un blasphème satanique absolu, lorsque la première bombe atomique s'appelait Trinité, le nom le plus sacré [dans de nombreuses religions]... C'était un blasphème, lorsqu'un aumônier de l'armée a béni la bombe d'Hiroshima avec de l'eau bénite. Il a même béni la bombe de Nagasaki, après avoir vu les victimes produites par la bombe d'Hiroshima, quelques jours plus tôt." [21]. H/N est devenu une profanation athée de toutes les religions et d'une civilisation nucléaire condamnée par Dieu au suicide nucléaire à moins qu'un paradigme alternatif ne naisse en son sein.

Le seul événement brillant et hautement spirituel de cette cuisine politique vile est la façon dont « Theodore Hall, un scientifique américain de Los Alamos de 19 ans, le plus jeune physicien du projet Manhattan et un espion soviétique, o­nt remis à un messager américain travaillant pour l'Union soviétique les plans complets de construction de la bombe au plutonium « Fat Man ». » [18]

4. La plus grande vilenie et méchanceté de la politique étrangère militariste américaine est révélée par la décision du président Truman d'exterminer des centaines de milliers de civils à H/N au nom de l'hégémonie mondiale des États-Unis et de l'intimidation de l'URSS. Il est devenu le deuxième meurtrier de masse d'État après Hitler, désormais le « boucher atomique » et l'éternel criminel contre l'humanité de l'histoire, ayant ordonné les bombardements atomiques de H/N, pour lesquels il n'y avait aucune nécessité militaire. Ils préserveront à jamais sa honteuse « gloire d'Herostratus » du « mal absolu satanique » occidental avec son portrait posthume avec deux explosions nucléaires dans une étreinte et avec son fruit de l'Hiroshima brûlé à vif, qui a tué instantanément 80 000 enfants, femmes et personnes âgées dans la figure 2.

Fig. 2. "Le boucher atomique national" Truman et son fruit en 1945 ~ 300 000 victimes

Truman a continué avec brio et sophistication le satanisme des fours à gaz des "camps de la mort" d'Hitler comme Auschwitz comme instrument du raciste "Mein Kampf", qui fêtera son 100e anniversaire en 2025, dans la politique occidentale innovante de globalisation génocidaire H/N depuis 79 ans, qui est maintenant devenue la politique officielle de "l'alliance nucléaire de l'OTAN" de 32 pays européens. [12].

Deux questions historiques des nations pour le « Sommet du futur » de l’ONU ;

- COMMENT les démocrates américains o­nt-ils pu réduire à néant la paix mondiale pendant 79 ans et créer un avenir de ruines mondiales sous les yeux de l’ONU pendant 79 ans ?

- Combien de temps encore l’ONU permettra-t-elle la construction de ruines mondiales au lieu de la construction de la « paix perpétuelle » mondiale de Kant, basée sur la science de la paix fondamentale et vérifiée, excluant la confrontation ?

L’approbation de Kamala Harris comme candidate du Parti démocrate à la présidence des États-Unis, son rejet total de la paix et la confirmation de la ligne militariste dure de Biden : « En tant que président, je serai fort avec l’Ukraine et l’OTAN… » [12a], signifie l’inévitabilité à 100 % de la guerre nucléaire mondiale avec la Russie, qui ne s’entendra jamais avec l’Ukraine nazie et l’OTAN. Par conséquent, si Harris remporte les élections, son fruit inévitable sera la guerre nucléaire mondiale, commençant depuis les ruines de Washington-Hiroshima. Elle accomplira la prédiction de longue date des experts américains selon laquelle « la ruine est notre avenir » [12b, 12c, 12d]. En provoquant avec rire et plaisir un militarisme « démocratique » débridé avec un Hiroshima américain, Harris ne comprend évidemment pas combien est stupide ce qu'elle dit et fait. Avec elle, la mondialisation H/N menace de devenir à 100%, l'engloutissant ainsi que les USA. Par conséquent, elle dépassera Truman et deviendra un « boucher nucléaire mondial » comme l'exprime la figure 3.

Fig. 3. « Le boucher nucléaire mondial » Harris :

« En tant que président, je serai fort avec l'Ukraine et l'OTAN... »
Ce sera le H/N pour Washington et l'Amérique comme son fruit le plus drôle…

Dans la civilisation nucléaire de l'Amérique, tous ses 14 présidents, sans exception, à commencer par le démocrate Truman, qui a lancé H/N à l'échelle nationale, o­nt régulièrement servi sa mondialisation par leurs généreuses contributions prioritaires à celle-ci. Si le démocrate Truman se limite à son échelle nationale du Japon, alors le démocrate Biden, après 79 ans d’efforts des USA et de leur alliance nucléaire avec l’OTAN, a porté le potentiel H/N au niveau planétaire et à 99%. Son potentiel levier de vitesse démocratique Harris promet de l’élever jusqu’à 100%. Cette intention, si elle se concrétise, en fera un criminel inégalé contre l’humanité.

Il semble que seul John Kennedy, parmi tous les présidents militaristes des USA, ait pu comprendre le mal absolu des armes nucléaires, sa guerre et son H/N planétaire. Il a formulé un impératif absolu de pacification contre elles : « L’humanité doit mettre fin à la guerre avant que la guerre ne mette fin à l’humanité », pour lequel il a été « démocratiquement » tué dans l’Amérique démocratique.Seule la « paix perpétuelle » peut « mettre fin à la guerre », qui pour le gouvernement américain est la vache sacrée de toute son histoire de 248 ans. Aucun des autres présidents américains n’a osé admettre ce véritable impératif de survie et de démocratie et lui donner vie. Le seul à s'en être approché était et est Trump qui a confirmé son alliance avec Kennedy Jr, mais il est également tombé sous le regard des faucons « démocrates », dont Harris. La civilisation nucléaire américaine/occidentale se précipite inexorablement dans l'abîme de la menace/nuit mondiale et aucun des démocrates ne connaît même le mot « paix », le mettant à zéro comme Harris dans son discours de 40 minutes à Chicago et noyant la paix dans sa global H/N.

3. La mondialisation de la menace nucléaire en chiffres sur 79 ans : 1945/2024. Tableau.

La meilleure illustration de l’échelle de mondialisation de la menace nucléaire en Occident sur 79 ans est la carte de la figure 4, qui a été créée par des scientifiques occidentaux autocritiques du FAS [22].

Fig. 4. Estimation des stocks mondiaux d’ogives nucléaires, 2024.

Sur la base de cette carte et en tenant compte de sources supplémentaires, nous avons construit un tableau de l’échelle également estimée de la mondialisation de la menace nucléaire en Occident sur 79 ans. Pourquoi « estimée » ? Parce que, comme le soulignent à juste titre les auteurs, « le nombre exact d’armes nucléaires en possession de chaque pays est un secret national bien gardé, de sorte que les estimations présentées ici comportent une incertitude importante. La plupart des États dotés d’armes nucléaires ne fournissent pratiquement aucune information sur la taille de leurs stocks nucléaires. » [Ibid]

Autre opinion principale, contraire aux doubles standards des faux médias grand public : « Les dangers de la guerre nucléaire ne font pas l’objet de débats et d’analyses par les médias grand public. L’opinion publique est soigneusement induite en erreur... Les armes nucléaires sont présentées comme des bombes de paix. » [17]

Toutefois, en tenant compte de l’erreur inévitable, les données trouvées dans les sources donnent une image générale de la tendance objective de la mondialisation H/N depuis 79 ans et de la « croissance constante du nombre d’ogives nucléaires » dans le sens de l’effondrement inévitable de la civilisation nucléaire dans le contexte mondial H/N. Cette mondialisation est présentée dans le tableau de la figure 5.

Fig. 5. Tableau. Mondialisation H/N. « Progrès » des démocrates américains.

Abréviations :

H/N – Hiroshima et Nagasaki ; NW – Ogives nucléaires ; GG – Croissance de la mondialisation H/N en %

1. NP – Puissances nucléaires produisant des armes nucléaires ;

2. NNCD NW – Nucléaires et non nucléaires Pays dont les bases militaires peuvent être déployées NW ;

3. NNW NP – Nombre de NW en NP ;

4. NWCD – NW en mission de combat ; 5. H/NNWTC – Capacité totale H/N NW 1945 ;

6. TCNW24 – Capacité totale de NW 2024 ; 7. NVH/N – Nombre de victimes H/N ;

8. NPPV24 – Nombre de victimes potentielles de la population en 2024.

Quelques coups de fouet sur la table.

Les « résultats de modélisation modernes confirment dans l’ensemble les conclusions des modèles plus simples des années 1980 selon lesquelles un conflit nucléaire à grande échelle entre la Russie et les États-Unis conduirait à un « hiver nucléaire »… L’hypothèse de « l’hiver nucléaire », qui a surgi dans la situation politique tendue, a montré que les conséquences d’une guerre nucléaire n’ont pas été suffisamment étudiées et sont peu prises en compte dans le processus de prise de décision concernant l’utilisation des armes nucléaires… [L’]incohérence de l’affirmation selon laquelle « la présence d’armes nucléaires par deux antagonistes augmente leur retenue dans l’utilisation de la force militaire » déjà aux approches éloignées du seuil nucléaire a été prouvée… Le rétrécissement du choix stratégique et la pensée à court terme dans les situations de crise ne peuvent pas garantir une prise de décision rationnelle sur la question de l’utilisation des armes nucléaires, tout comme la justification d’une telle décision par la rivalité nationale ou l’idéologie de la confrontation ne le peut pas. » [24]

« Il est connu depuis longtemps qu’une guerre nucléaire majeure pourrait détruire la civilisation moderne et tuer la majeure partie de l’humanité… Ce rapport résume les derniers travaux scientifiques, qui montrent qu’une guerre nucléaire dite « limitée » ou « régionale » ne serait ni limitée ni régionale. Au contraire, ce serait un événement à l’échelle planétaire. En fait, elle serait bien plus dangereuse que ce que nous pensions il y a quelques années. Une guerre qui ferait exploser moins d’un vingtième des armes nucléaires mondiales détruirait quand même le climat, les chaînes d’approvisionnement alimentaire mondiales et probablement l’ordre public. Les famines et les troubles tueraient des centaines de millions, voire des milliards… En utilisant moins de 3 % des armes nucléaires mondiales, une guerre nucléaire entre l’Inde et le Pakistan pourrait tuer jusqu’à une personne sur trois sur terre [~2,7 milliards] »[25].

Potentiellement, cela représente presque 10 000 fois plus de victimes de H/N, soit 1 000 000 %. C'est l'ampleur supposée de la mondialisation occidentale actuelle, avec seulement 3 % des armes nucléaires mondiales. Dans d'autres scénarios plus graves de guerre nucléaire « régionale », envisagés par l'auteur, les dommages causés à l'humanité deviennent encore plus dévastateurs. [Ibid]

Conclusions.

1. La civilisation nucléaire de l’humanité est occidentale, américaine à son origine, son centre et sa principale force motrice est le « milliard d’or » avec son « alliance nucléaire » OTAN, qui a assuré la mondialisation H/N à un hiver nucléaire planétaire potentiel avec sa probabilité inévitable de plus de 99 % au cours des 79 dernières années. [4]

2. Cette civilisation a été imposée à l’humanité par la force et la menace de la force du « mal absolu des armes nucléaires », dont la course prioritaire au cours des 79 dernières années a impliqué, plus ou moins, pratiquement tous les pays dans une sphère ou une autre, rendant un nouveau danger H/N universel pour toutes les nations. La civilisation nucléaire signe son propre arrêt de mort avec son H/N mondial de 79 ans, qui est aujourd’hui prêt à être lancé à plus de 99 %.

3. Dans la guerre nucléaire globale à l’échelle de H/N milliards de fois dans cette civilisation, l’humanité sera renvoyée dans son évolution de dizaines ou de centaines de milliers d’années au stade de sauvagerie et de paléoanthropie, où les survivants restants seront condamnés à l’extinction radioactive pendant de nombreux siècles, comme dans la zone de la catastrophe de Tchernobyl.

4. L’histoire de la civilisation nucléaire depuis 79 ans, avec toutes ses réalisations partielles impressionnantes, a exposé le militarisme total et croissant de l’Occident/OTAN avec sa seule capacité holistique à se détruire lui-même et la majeure partie de l’humanité par le nucléaire.

5. Le militarisme s’est révélé être le « talon d’Achille » générique de la civilisation nucléaire, en premier lieu de son « père fondateur » l’Occident/OTAN, privé de la capacité de trouver une issue à sa ruine militaire. Il n'a pu, pendant 79 ans, que détruire les vieilles pousses et supprimer les nouvelles pousses d'une science commune et positive et d'une culture de paix, en les stigmatisant de « folie, démenti, dissidence et chimère », n'ayant rien fait pour leur croissance pendant ces années. [25a, 25b, 25c]

6. Les limitations cognitives et idéologiques de l'Occident par le militarisme l'ont privé de la possibilité et de la capacité de créer en 79 ans une alternative scientifique fondamentale et vérifiable au suicide nucléaire inévitable de sa civilisation nucléaire.

7. Le militarisme en tant qu'attribut pathologique de la nature sociale, visant non pas sa vie, mais sa mort, avec l'ignorance et l'impuissance holistiques de l'humanité devient avec eux une source insurmontable de son éternelle confrontation cognitive et idéologique.

8. La civilisation nucléaire restera la dernière dans l'histoire de l'humanité, couronnant et complétant la période multimillénaire des civilisations violentes, au cours de laquelle l'instrument principal de la violence - les armes, au niveau des armes nucléaires, s'auto-renonce, atteignant le plafond du suicide nucléaire planétaire de l'humanité, incompatible avec sa vie et son avenir.

4. Le mystérieux paradoxe et l'antinomie de la civilisation nucléaire

Comment et pourquoi dans cette civilisation prospère du « milliard d'or » pendant 79 ans de son existence, avec toutes ses brillantes réalisations dans chacune de ses parties : branche, corporation, ville et pays, avec tous leurs efforts pour le meilleur, mais dans son ensemble pour l'humanité, objectivement, contre la volonté de toutes ses parties, un résultat suicidaire-génocidaire général du potentiel H/N planétaire, préparé à 99%, a-t-il été obtenu ? Dans l'histoire de cette civilisation, il existe des témoignages pratiquement équivalents à la fois de sa vie et de sa mort, déterminant l'antinomie objective de son existence pendant 79 ans. Sa situation générale est caractérisée par le célèbre aphorisme : « nous avons voulu le meilleur, mais cela a fini comme toujours [mal] », qui, une fois déchiffré pour cette civilisation, signifie : toutes ses parties : branches, villes et pays voulaient vivre mieux, mais dans l'ensemble, pour tous ensemble, cela s'avère être la mort, la fin de la vie. Nous entendons constamment l'appel à « rendre le monde meilleur », mais en fait nous le poussons vers l'abîme. Comment est-ce possible ?

Il n'y a pas de place dans un court article pour résoudre ce paradoxe philosophique et l'antinomie cognitive macrosociologique « être ou ne pas être ? » de la civilisation nucléaire de l'humanité. Notre brève conclusion et réponse à cette question est la suivante.

La civilisation nucléaire connaît bien ses parties : branches, corporations, villes et pays, elle les maîtrise bien et utilement dans ses organisations partielles et disciplinaires, dans ses sciences, dans sa politique et dans sa diplomatie. Mais elle ne sait rien de leur intégrité systémique immanente et éternelle et ne possède aucunement ses lois macrosociologiques objectives, unifiées et communes à toutes les parties et nations de l'humanité sans exception. Le niveau de sa connaissance et de sa pensée historiques n'a pas encore atteint le niveau substantiel, systémique et structurel de la connaissance et de la compréhension de l'intégrité des parties. Elle est restée pendant 79 ans limitée par le niveau sectoriel, disciplinaire, des fonctions spécifiques des parties de l'ensemble et par ces idéologies partielles et fausses qui tentent de justifier théoriquement l'avantage et l'exclusivité de l'une ou l'autre partie sociale : un secteur, une classe, un parti, une nation, un État, etc. Cette limitation et fragmentation de la connaissance et de la pensée sectorielles de cette civilisation, comme de toutes les précédentes, donne lieu à une confrontation éternelle et indomptable des parties sociales privées de connaissance et de compréhension d'une intégrité systémique-structurelle unique et commune pour elles avec tout le spectre des conséquences négatives universelles, jusqu'au génocide nucléaire suicidaire de l'humanité.

Une explication de certains moments clés de l'antinomie cognitive de la civilisation nucléaire sur la voie d'une sortie systémique-structurelle et scientifique holistique de celle-ci est brièvement présentée ci-dessous.

5. L’insolubilité du problème des armes nucléaires dans la civilisation nucléaire. La loi cognitive d’Einstein

La civilisation nucléaire occidentale suffoque depuis 79 ans dans les convulsions et le chaos d’une violence totale et incontrôlée. Sa mondialisation de la H/N est institutionnalisée dans toutes les sphères sociales par une multitude d’institutions militaristes légitimes. La mondialisation de la H/N aliène cette civilisation de la nature sociale de la « paix perpétuelle » de Kant, supprime toutes les alternatives pacifiques fondamentales et prive sa seule immunité de survie pacifique, la condamnant ainsi à un inévitable suicide nucléaire.

La civilisation nucléaire criminelle, à l’initiative de l’Occident, a en fait détruit l’institution principale – le droit international des normes fondamentales adoptées à Nuremberg et après, réglementant la limitation et l’interdiction des armes nucléaires génocidaires en tant que crimes contre l’humanité [1 ; 2 : 3]. Mais la raison de l’effondrement réel du droit international n’est pas seulement le militarisme occidental constant depuis 79 ans, mais aussi la faiblesse cognitive du droit traditionnel en matière de pacification, privé de l’inviolabilité scientifique fondamentale et objective et de la reconnaissance générale par tous les peuples et gouvernements sans exception.

Le militarisme total de l’Occident et son impuissance cognitive à faire la paix définissent la loi de « l’ineradiation et de l’insolubilité des armes nucléaires, mal absolu dans la civilisation nucléaire », ce qui est confirmé par toute l’histoire et tous les attributs de cette civilisation pendant 79 ans, brièvement décrits ci-dessus. Si le militarisme de cette civilisation est révélé par la mondialisation H/N, alors son impuissance à faire la paix a été définie par Albert Einstein à son aube il y a 70 ans dans son impératif cognitif holistique. Dans sa définition, il vient de la nature rationnelle de l’homo sapiens dans une société dans laquelle tout commence par la pensée et finit par la pensée, y compris les armes nucléaires et sa civilisation. Dans sa définition, cet impératif cognitif de la civilisation nucléaire est formulé ainsi : « les problèmes importants auxquels nous sommes confrontés ne peuvent être résolus au même niveau de pensée que celui auquel nous étions lorsque nous les avons créés [par conséquent] nous aurons besoin d’une manière de penser substantiellement nouvelle si l’humanité veut survivre. » [26]

Nous pouvons supposer que l’Occident, en 79 ans de civilisation nucléaire, n’a pas été capable de comprendre et d’utiliser « une pensée substantiellement nouvelle », parce qu’il ne veut pas et ne peut pas vivre autrement que dans le militarisme, ce qui le conduit inévitablement au suicide nucléaire. Ou vice versa ? Il se condamne à l’extinction dans le militarisme parce qu’il ne connaît pas et ne veut pas connaître « une pensée substantiellement nouvelle », est incapable de s’y élever, la supprimant et fermant ainsi la voie à un mode de vie fondamentalement nouveau et pacifique excluant le militarisme ? Que ce dilemme soit vrai, le temps nous le dira. Mais une chose est claire : la destruction des armes nucléaires et le dépassement de sa civilisation nucléaire suicidaire ne sont pas une question de niveau/qualité de pensée traditionnelle, mais seulement de « substantiellement nouveau ». Le mal absolu des armes nucléaires ne peut être éradiqué par son extension planétaire dans la mondialisation H/N. Il n'augmente pas, mais annule la sécurité nationale et mondiale. Plus il est produit, moins il l'est, tant au niveau national que mondial. Ce mal est créé par une pensée partielle, disciplinaire et fragmentée, qui ne peut être surmontée que par une « pensée substantiellement nouvelle ».

La seule question est de savoir à quoi ressemble cette pensée et quelle nature sociale « substantielle » la détermine ? Les grains rationnels de compréhension et de pensée de cette nature extrêmement complexe, à grande échelle et éternelle sont nés spontanément, intuitivement tout au long de l'histoire écrite de l'humanité au cours des 3-4 derniers millénaires, et doivent être séparés et intégrés. La tâche consciente et ciblée de séparer, de vérifier et d'intégrer ces véritables grains de « pensée substantiellement nouvelle » dans le développement macrosociologique mondial de la SCIENCE DE LA PAIX a été définie et résolue au sein de la GGHA pendant près de 20 ans depuis sa création le 15 février 2005. Pendant ce temps, le processus de son développement par nous avec plus de 700 de ses coauteurs de plus de 50 pays au sein de la GGHA est présenté dans de nombreux livres, articles et projets de consolidation de la paix [27], dont le premier devrait être nommé notre livre fondamental « Science de la paix mondiale » par 174 coauteurs de 34 pays en 2016 [28]. Naturellement, son développement est un processus sans fin, qui n'a été accompli dans l'académie des volontaires de la GGHA qu'au stade initial dans un volume minimal, défini conditionnellement par nous à « un pour cent ». Mais, comme o­n dit, « la bobine est petite, mais chère », ouvrant une perspective illimitée de développement sur cette voie. Quelle est l'essence de sa compréhension aujourd'hui ?

6. La science de la paix :

sa pensée sphérique substantielle et son institutionnalisation

comme voie commune de sortie de l'impasse génocidaire de la civilisation nucléaire

La science de la paix macrosociologique fondamentale et vérifiable, nécessaire et acceptable pour toutes les nations, est née au sein de la civilisation nucléaire, malgré et indépendamment d'elle, sur la base de l'intégration des réalisations clés du passé en matière de pacification et de science. Il s'agit, tout d'abord, des découvertes des varnas/sphérons non violents de l'humanité par le Mahatma Gandhi, de la noosphère de Vernadsky, Chardin, Leroy, des quatre ressources sociétales nécessaires et suffisantes de PIOT (ci-dessous) Bertalanffy dans le cadre de la pensée sphérique de l'humanité, « substantiellement nouvelle » pour comprendre et mettre en œuvre la « paix perpétuelle » de Kant. Son expression la plus condensée au cours des décennies est aujourd'hui l'engramme suivant de la figure 6 avec de brèves définitions.

La science de la paix : la pensée sphérique et « substantiellement nouvelle »
de l'humanité selon la « paix perpétuelle » de Kant

Fig. 6. Engramme de la science de la paix

La science de la paix a traversé trois étapes historiques de son développement.

1.L'étape indienne, qui a commencé avec la découverte fondamentale de la sphéronie humaine par le Mahatma Gandhi en 1927, ce qui explique le titre de cette science comme « gandhienne ».

2.L'étape russe, qui a commencé avec le développement de la macrosociologie sphérique (approche sphérique et tétrasociologie) en 1976.

3.L'étape internationale, qui a commencé avec la création de la GGHA internationale de maintien de la paix en 2005, première institutionnalisation informelle de la « pensée substantiellement nouvelle » dans la société civile mondiale. Ces étapes et leurs réalisations sont présentées dans une longue liste de plus de 1 500 publications, livres et projets [29 ; 28 ; 27], sans compter de nombreuses sources historiques complémentaires. Au cours de la dernière étape, sur près de 20 ans, la Science de la Paix a été créée par plus de 700 coauteurs de plus de 50 pays avec la participation du président indien Abdul Kalam et de cinq lauréats du prix Nobel de la Paix, acquérant sa forme moderne et ses présentations dans les nombreuses publications mentionnées ci-dessus en 1 à 12 langues. [Ibid]

Aujourd'hui, le résultat holistique de la connaissance de la nature intégrative de la Science de la Paix est présenté dans son engramme ci-dessus, qui exprime le génome transdisciplinaire sociétal de l'humanité à tous ses niveaux, à commencer par l'individu et la famille sous la forme structurelle de 16 sphères constantes de la société. Ce sont les lois sociologiques éternelles de l'existence sociale de l'humanité dans le cadre constant et les rives harmonisantes desquelles tous ses changements historiques transitoires se produisent à tous les stades de la sociogenèse. [13, etc.]

La Science de la Paix est vérifiée par les statistiques mondiales et est disponible pour vérification en 2 heures pour toute personne alphabétisée à partir de l'âge de 10 ans, qui connaît l'arithmétique et un ordinateur [30].

La Science de la Paix se crée et se dote ainsi que sa « pensée substantiellement nouvelle » sphérique avec de nouveaux outils adéquats de statistiques sphériques et sa technologie numérique d'Intelligence Artificielle Sphérique (IAS) [31], construite dans l'architecture, la logique et la structure système-sphérique du génome sociétal de l'humanité sur la Fig.5. Sa substance informationnelle est structurée en deux segments clés : la connaissance sphérique holistique et constante, accessible à l'homme et la connaissance disciplinaire partielle et changeante, inaccessible à l'homme dans le trou en raison de la taille extrême de ses big data. Pour paraphraser, nous pouvons dire que le principe d'information de l'IAS est exprimé par le dicton bien connu : « À l'Homme/Dieu – les choses de Dieu, et à la machine/César – les choses de César », ce qui assure l'harmonisation de l'homme et de la « super-intelligence IA », préservant la fonction de contrôle et de gouvernance pour l'homme, laissant à la machine un rôle auxiliaire et instrumental. Une structure similaire exclut la peur de la « domination de la machine sur l'humain » et de sa transformation en esclave des robots, à qui l'humain ne transférera jamais sa logique sociale sphérique de « pensée substantiellement nouvelle », préservant un contrôle constant sur elle comme sa plus haute propriété intellectuelle.

La science de la paix, en vertu de la vérité scientifique, est unifiée, nécessaire, acceptable et perpétuelle pour toutes les nations sans exception et pour l'humanité dans son ensemble, si elle est reconnue et comprise par elles dans sa culture, sa pensée et son éducation à la paix. Mais pour vaincre la civilisation nucléaire violente du « mal absolu des armes nucléaires », puissamment institutionnalisée dans les quatre sphères vitales de la société, la science de la paix et sa « pensée substantiellement nouvelle » sphérique doivent également être institutionnalisées dans toutes les sphères de la communauté mondiale et de chaque pays. C'est seulement dans cette institutionnalisation globale dans la logique objective sphérique de l'humanité, présentée dans l'engramme, que le dépassement non violent évolutif de la civilisation nucléaire occidentale, sa mondialisation H/N et une civilisation sphérique harmonieuse naît au sein de la civilisation nucléaire. Elle seule est capable de déplacer et de remplacer évolutivement toutes les institutions militaires de la civilisation nucléaire dans tous les domaines, mais en préservant tout ce qui est positif, en particulier l'énergie nucléaire pacifique et sûre, qui peut être utilisée pour la construction de la paix d'une nouvelle civilisation non violente.

La première institution de paix de chaque État devrait être le « Département de la paix » politique et diplomatique de l'organisation, proposé comme contrepoids au « Département de la défense/guerre » par Benjamin Rush pour le gouvernement américain. Mais sa nature militariste a rendu impossible sa création en 230 ans après 11 tentatives infructueuses d'approbation de son projet de loi au Congrès. Cela prouve une fois de plus le militarisme indéracinable des États-Unis, qui a été capable de combattre et de détruire la paix tout au long de son histoire, 230 ans sur 248, mais n'est pas capable de créer et de sortir de manière indépendante de sa civilisation nucléaire suicidaire sans l'aide d'autres pays et de leur science de la paix. Malheureusement, aucun dirigeant d’État dans l’histoire n’a été capable de reconnaître non seulement la nécessité mondiale de la science de la paix, comme l’a fait l’ancien président indien Abdul Kalam en 2012, en la reconnaissant comme nécessaire « pour la paix et la prospérité de toutes les nations de la planète Terre » [32], mais aussi de passer des paroles sur la paix à son institutionnalisation pratique et organisationnelle dans toutes les sphères de la société, à commencer par la création du « Département de la paix ».

Dans l’infosphère, une institution similaire, au lieu de nombreux instituts de recherche militaire, devrait être l’« Académie de la paix et du développement accéléré » indépendante proposée pour les pays BRICS+ par nous [33], dont le prototype est l’« Académie chinoise des sciences sociales » indépendante de Deng Xiaoping, ainsi que les académies britanniques et pontificales des sciences sociales similaires. Bien entendu, cette institutionnalisation devrait également intégrer et préserver toutes les expériences et réalisations positives de la science militaire qui peuvent être utilisées pour la consolidation de la paix.

Dans la sphère sociale, une institution similaire, au lieu de nombreuses académies, universités et écoles d'éducation militaire, devrait être le système de science de la paix d'éducation fondamentale pour la paix, à commencer par l'école secondaire et toutes les universités d'éducation civile, bien sûr, avec la préservation et l'intégration de tous les éléments positifs de l'éducation militaire nécessaires à la paix. Une liste de plus de dix projets éducatifs du GGHA depuis près de 20 ans est présentée ici [27].

Dans la technosphère, dans l'économie, une institution similaire est déjà toute la production publique civile, qui n'a besoin que d'être libérée du complexe militaro-industriel, mais encore une fois, avec la préservation de tous ses fragments positifs nécessaires à la paix. L'innovation clé de l'institutionnalisation économique de la science de la paix consiste en l'organisation fractale sphérique de la production sociale et de sa gestion (gouvernance) à tous les niveaux, ce qui garantit son efficacité et augmente parfois la productivité du travail. La « modernisation économique » de Den Xiaoping, qui a fourni à la Chine le « miracle économique » de l'économie, une croissance sans précédent sur trois décennies de plus de 15 % par an, reste non résolue et unique partout [34 ; 35]. La science de la paix permet pour la première fois de définir et de séparer la plus-value sphérique à tous les niveaux de la production sociale, ce qui rend l’économie de paix la plus attractive et la plus rentable pour les entreprises [36]. Seule cette plus-value assure le taux de croissance du PIB le plus élevé dans chaque pays et dans le monde, que Deng Xiaoping a intuitivement atteint dans le « miracle économique chinois ».

Il est clair qu’il ne s’agit là que d’une feuille de route de l’institutionnalisation de la science de la paix dans son long processus évolutif de mondialisation, au cours de, évidemment, pas moins d’un demi-siècle, au cours duquel elle remplacera systématiquement la mondialisation de la civilisation nucléaire H/N de toutes ses sphères, tout en préservant et en intégrant toutes ses réalisations utiles à la consolidation de la paix.

Seul un processus similaire, évolutif dans le temps, mais révolutionnaire dans sa structure, processus d'une logique sphérique unique de la mondialisation institutionnelle de la science de la paix, mais infiniment diversifié dans ses formes culturelles et nationales locales, est capable de remplacer et de déplacer de manière non violente la civilisation nucléaire génocidaire dans sa mondialisation H/N par la civilisation harmonieuse d'un avenir multipolaire sphérique. Elle est née au début de notre siècle [Ibid].

7. Les ponts sphériques vers l'avenir multipolaire

La civilisation harmonieuse en période de transition

La grande transition historique d'une civilisation nucléaire à une civilisation harmonieuse, qui prendra au moins cinq à six décennies de changement sur au moins 2-3 générations d'humanité, commence dès la conception et la construction conscientes des ponts et des outils nécessaires dans chaque sphère de la vie humaine, dont de nombreux éléments rationnels o­nt été découverts et préparés depuis longtemps. Ils attendent leur intégration dans la science de la paix de la nouvelle civilisation. La supériorité cognitive de cette science est déterminée par sa nature sociale de la "nouvelle manière substantielle de penser" sphérique, qui, avec son caractère holistique et transdisciplinaire, libère la pensée traditionnelle, partielle/disciplinaire et sectorielle de ses limitations génériques et de sa nocivité dans son ensemble, avec tous ses avantages partiels et ses innombrables réalisations. Ce n'est que dans le cadre de la pensée transdisciplinaire et sphérique que ces avantages et ces réalisations sont préservés et reçoivent une vie harmonieuse avec l'ensemble social, sans l'exposer aux risques d'autodestruction, comme dans une civilisation nucléaire. Sans un changement fondamental similaire dans la manière de penser, il ne peut y avoir de changement civilisationnel aussi fondamental qui assure la « paix perpétuelle » mondiale comme sécurité suprême et inconditionnelle de toutes les nations ainsi que leur prospérité dans un développement historique durable.

Seule une science de la paix similaire et sa pensée sphérique et substantielle sont capables d’assurer à tous les peuples pendant de nombreuses décennies la construction commune de la future civilisation multipolaire en harmonie, sans aucune confrontation dans tous les vecteurs sectoriels et nationaux, empêchant l’émergence de tous leurs conflits par une solution commune, harmonieuse et véritablement préventive, comme dans une famille amicale.

La science de la paix assure la création d’outils innovants et le renouvellement des ponts traditionnels pour sortir de la civilisation nucléaire et passer à une civilisation harmonieuse du futur. Ci-dessus, nous avons énuméré plusieurs des principaux. En conclusion, nous nous attarderons brièvement sur les plus pertinents et les plus pratiques d’entre eux aujourd’hui.

Renouvellement du droit international. De par leur nature, le droit et la paix sont identiques, tout comme leurs sciences. Le droit sert la paix, et la paix exige un droit international spécial dans la sphère organisationnelle. Aucun droit international depuis 79 ans, sans et en dehors de la Science de la Paix, n’a pu arrêter la mondialisation du « mal absolu ». Cela ne peut être fait que par le droit international basé sur cette science, dont les fondements sphériques o­nt été définis par le brillant juriste romain Gaius dans ses « Institutes » de droit romain au deuxième siècle après J.-C. [37]. La présentation systématique du droit privé romain, tant civil que prétorien, dans ses Instituts est imprégnée du principe : « Omne autem jus, quo utimur, vel ad personas pertinet vel ad res vel ad actiones » (« Tout droit que nous utilisons se rapporte soit à des personnes, soit à des choses, soit à des revendications »). Ce principe clé et holistique du droit exprime trois ressources sociales sphériques qui sont régulées par le droit toujours et partout : les personnes, les choses, les revendications, dont la dernière exprime l’organisation des relations entre les premières. Naturellement, pendant près de deux mille ans après Gaius, le droit n'a pas seulement approfondi et est devenu plus détaillé dans les domaines concernés, mais s'est également étendu à la sphère de l'information dans le domaine du droit d'auteur, de l'édition et d'autres segments similaires de son droit. Par conséquent, le droit dans son ensemble, comme le droit international, est en fait basé sur les mêmes piliers sphériques de ressources sociétales et perpétuelles de PIOT, comme la science de la paix. [Ibid].

La mondialisation des institutions de la science de la paix en tant que normes du droit international pour la future civilisation harmonieuse s'étend au droit de la famille [38; 39], au droit constitutionnel de résolution pacifique des conflits territoriaux sur la base du condominium juridique des pays intéressés, par exemple, Israël et la Palestine [40], au droit de l'ONU de transformer la structure de gouvernance mondiale, qui assure réellement la paix mondiale et l'harmonie des relations internationales [41; 42].

La science de la paix remplace la disharmonie, les guerres et la militarisation.

Bibliographie

1. Boyle F. La criminalité de la dissuasion nucléaire/du terrorisme. 2002 :

https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=957

2. Boyle F. La criminalité de la dissuasion nucléaire. Chapitre 2. Les leçons d'Hiroshima et de Nagasaki. 2002 : https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=957

3. Boyle F. et al. Armes nucléaires et droit international. Projet de rapport. 1987 : https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=1204

4. Mecklin J. La catastrophe nucléaire: 90 secondes. 2024 :

https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=924

5. Semashko L. et Siebert R. Gandhi, Poutine et Bushnell : Résister au génocide nazi de l'OTAN par la force et la non-violence, Mobilisation scientifique. 19-03-24 : https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=1175

6. Lucas J. Le régime américain a tué 20 à 30 millions de personnes :

https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=816

7. Dave C. L'Amérique peut être une grande nation si... 05-08-24 :

https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=1205

8. Dave C. L'acte le plus criminel de l'Amérique: les bombardements atomiques du Japon. 08-08-24 :https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=1207

8a. Dave C. L’expansion de l’OTAN est une gaffe aux proportions épiques. 27 juin 2022 :https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=1213

9. Hastings M. Ce n’est pas seulement l’Ukraine et Gaza: la guerre se propage partout. Bloomberg. 10-12-23 :https://www.bloomberg.com/opinion/articles/2023-12-10/it-s-not-just-ukraine-and-gaza-war-is-on-the-rise- everywhere

10. Chossudovsky M. La « répétition générale » d’Hiroshima et de Nagasaki… pour « rayer l’Union soviétique de la carte ». 17-04-24 : https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=1185

11. Fry S. Le plan terrifiant de 1 200 milliards de dollars qui pourrait tuer 90 % de l'humanité. 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=spnJ5WDgZnY et ici : https://peacefromharmony.org/plan

12. OTAN. Déclaration du sommet de Washington. 10 juillet 2024 : https://www.nato.int/cps/en/natohq/official_texts_227678.htm

et ici en deux langues : https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=1199

12a. Discours complet de Kamala Harris à la DNC 2024. 23 août 2024 :

https://www.cbsnews.com/news/watch-kamala-harris-full-speech-at-the-2024-dnc/

et ici : https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=1212

12b. Roberts P. La ruine est notre futur. 2015 : https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=657

12c. Galtung J. La chute de l’empire US - Et quoi maintenant ? 2009 : http://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=599 
12d. Barbara Boyd. Support for Kamala Harris Or Others Running the Ukraine War, Now Means Imminent Nuclear War. Sept 13, 2024:https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=1214

13. GGHA. Manifeste anti-OTAN troisième guerre mondiale. 21-07-24 : https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=1201

14. Kant, I. La paix perpétuelle : une esquisse philosophique / I. Kant. – Édition britannique : Hackett Publishing Company, 2015. – 64 p.

15. Avery J. Les armes nucléaires : un mal absolu. 2017 : https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=800

16. GGHA. Manifeste antinucléaire. 2020 : https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=908

17. Chossudovsky M. Hiroshima : une « base militaire » selon le président Harry Truman. 10-08-24 :https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=1208

18. Lindorff D. Rappel de 3 événements mondiaux des 9 derniers jours de la Seconde Guerre mondiale. 10-08-24

https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=1210

19. Pathak, P. B. (2021). Le Tribunal de Tokyo: un précédent pour la justice de Victor II. Journal des progrès de la recherche en sciences sociales, 8(8), 285–300. https://doi.org/10.14738/assrj.88.10666

20. Merlo F. Ce que signifie survivre à une bombe atomique. Vatican News. 08-08-24 :https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=1206

21. Siebert R. C'était un blasphème satanique absolu... 08-08-24 :

https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=1206

22. Hans Kristensen et al. Statut des forces nucléaires du monde. 29-03-24 : https://fas.org/initiative/status-world-nuclear-forces/, et : https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=1211

23. Annuaire SIPRI 2024. Chapitre de l'Annuaire SIPRI 2024 sur les forces nucléaires mondiales. 17-06-24 : https://www.sipri.org/sites/default/files/YB24%2007%20WNF.pdf

24. Ginzburg A.S., Samoylovskaya N.A. Hypothèse de « l’hiver nucléaire » Recherche et responsabilités dans la politique nucléaire. Journal of International Analytics. 2023 ;14(4) :149-160. (En russe) https://doi.org/10.46272/2587-8476-2023-14-4-149-160

25. Bivens, Matt. Famine nucléaire : même une guerre nucléaire « limitée » provoquerait une perturbation climatique brusque et une famine mondiale. Médecins internationaux pour la prévention de la guerre nucléaire, 2022 : https://www.ippnw.org/wp-content/uploads/2022/09/ENGLISH-Nuclear-Famine-Report-Final-bleed-marks.pdf.

25a. Maguire M. Le militarisme n'est jamais la réponse. 3 mars 2022 : https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=678

25b. Maguire M, Avery J, Semashko L. Sommet États-Unis-Russie. La Grande Charte de La Paix XXI. 16 juillet 2018, Helsinki : https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=834 et : https://www.globalresearch.ca/us-russia-summit-a-manifesto-and-roadmap-of-global-peacebuilding-in-the-21st-century/5647028

25c. Maguire M. Les États-Unis et le Royaume-Uni o­nt commis un génocide contre le peuple irakien. 22 septembre 2014 : https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=678

26. Citations d'Albert Einstein : https://www.sfheart.com/einstein.html

27. GGHA. Liste des projets et livres sur le rétablissement de la paix : https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=472

28. Semashko, L. La science de la paix mondiale... des sphérons / Semashko. L. [et al.]. – JD Group of Publication, New Delhi. 2016. – 624 p. – URL :

https://peacefromharmony.org/docs/global-peace-science-2016.pdf.

29. GGSG. Histoire des sciences du monde, Sphéronique. 01-09-22 :

https://peacefromharmony.org/?cat=ru_c&key=983

30. Semashko, L. Mahatma Gandhi. Point de départ de la non-violence. Génétique et statistiques des sphérons. GANDHICA. / Semashko. L. [et al.]. – New Delhi. R.B.H. Media Design. 2019. – 242 p. - URL : https://peacefromharmony.org/docs/gandhi-nonviolence-of-spherons-gandhica-2019.pdf.

31. Semashko L. et Siebert R. Intelligence artificielle sphérique de la science de la paix : douze avantages. 28-05-24 : https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=1189

32. Semashko L. et GHA 75 coauteurs de 26 pays. L'ABC de l'harmonie pour la paix mondiale, la civilisation harmonieuse et la pensée tétranet. Manuel scolaire mondial. New Delhi, Doosra Mat Prakashan, 2012, 334 pages, ISBN – 978-81-923108-6-2 : https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=489

33. Semashko L. et GGHA.GGSG. Histoire des sciences du monde, Sphéronique.. 10-10-23 : https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=1160

34. Semashko L. et Siebert R. La Chine et la Russie pour la paix mondiale. Logique sphérique de sa promotion et de son institutionnalisation. 09-06-24 : https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=1193 et ​​en chinois : https://peacefromharmony.org/?cat=ch_c&key=8

35. Glazyev S. Le miracle économique chinois. Leçons pour la Russie et le monde. Moscou. 2023. En russe. ISBN 978-5-7777-0891-5.

36. Semashko L. La science de la paix et sa logique des sphères pour accélérer la croissance économique, les investissements et les affaires. Entretien avec WGF. 12-05-24 : https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=1190

37. LES INSTITUTS DE GAIUS. Partie I. TEXTE AVEC NOTES CRITIQUES ET TRADUCTION Par FRANCIS DE ZULUETA. Oxford University Press. Londres. 1958 : https://peacefromharmony.org/?cat=ru_c&key=1083

38. Semashko L. et DeWitt M. Le suffrage des enfants exécuté par les parents. 2004 : https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=211

39. Semashko L. et dr. Code de la famille de Russie. 1981 : https://peacefromharmony.org/docs/Semeynyy-kodeks-RSFSR-1991.pdf

40.Lev Semashko. BRICS : Il y a une carte de conflit de résolution complète entre la Palestine et l'État pour les années 2024-2025 pour la nouvelle nation et le condominium. 01-11-23 : https://peacefromharmony.org/?cat=ru_c&key=1081

41. Semashko L. et GGHA. Network Spherons : L’harmonie de l’ONU remplace la disharmonie de l’ONU. 2017 :http://www.peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=769

42. GGHA. Science de la Paix : « Pacte pour l’avenir » pour transformer la Charte de l’ONU et les Constitutions des États comme alternative au suicide nucléaire. 12-02-24 : https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=1172

43. Lindorff D. Il est temps de dénoncer le militarisme américain pour ce qu’il est : la principale menace pour la sécurité de l’Amérique. 4 janvier 2018 : https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=804

44. Glazyev S. La dernière guerre mondiale. Les États-Unis commencent et perdent. M. 2024. 585s. En russe. ISBN : 978-5-6050696-9-0

Dr. Leo Semashko, Russie, Orthodoxe, philosophe et sociologue, Fondateur de la GGHA (2005) et président honoraire au nom de la Science de la paix, plus de 700 coauteurs, dont le président indien Dr Abdul Kalam et 5 lauréats du prix Nobel de la paix, de plus de 50 pays pendant près de 20 ans, Russie, Saint-Pétersbourg,

Web : https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=253

Mairead Corrigan Maguire, Royaume-Uni, lauréate du prix Nobel de la paix 1976, The Nobel Women's Initiative, Belfast, Irlande du Nord,

Web : https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=678

Chaitanya Dave, États-Unis, Vice-présidente de la GGHA, Adepte du Mahatma Gandhi et du Vedanta de l'hindouisme Philosophie, Entrepreneur, Californie,

Web : https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=1205

Dr. Rudolf Siebert, États-Unis, Le vice-président de la GGHA, Catholique, professeur émérite, Université du Michigan, philosophe, antifasciste, soldat de la Wehrmacht en 1943-1945, théologien, fondateur de la Maison Mir aux États-Unis depuis 1965, Kalamazoo, Michigan, Web : https://www.peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=51

Dr. Bishnu Pathak, Népal, Le vice-président de la GGHA, Expérience de rétablissement de la paix depuis plus de 25 ans, Partisan du Mahatma Gandhi, Hindou,Katmandou,

Web : https://peacefromharmony.org/?cat=en_c&key=910

06/08/24 - Mise à jour : 27/08/24